La Charte de déontologie pour les accompagnements individuels Vox Aurea
1. Formation professionnelle
L’accompagnante Vox Aurea a suivi une formation professionnelle qui lui permet d’utiliser les outils de Programmation neuro-linguistique dans ses accompagnements autour de la communication orale et du management.
Ses compétences à exercer professionnellement ont été validées par l’organisme qui ont dispensé cette formation, à savoir Réa-active en partenariat avec Agapé&Co.
A la demande de ses clients, l’accompagnante peut fournir une information claire sur la nature de sa formation et sur les différentes qualifications obtenues.
2. Mise à jour de ses connaissances
L’accompagnante consacre régulièrement une quote-part de son temps à l’actualisation de ses connaissances et se tient au courant des développements réguliers de sa profession, s’inscrit dans une dynamique continue d’évolution professionnelle tant dans le domaine de la PNL, que de la communication orale et du management.
3. Supervision régulière
Dans le cadre de ses accompagnements PNL, l’accompagnante bénéficie d’une supervision régulière avec un coach PNL certifié, supervision durant laquelle elle fait le point sur sa pratique et continue à la faire progresser en vue de fournir les services de la meilleure qualité possible à ses clients. D’autre part, dans le cadre de la communication orale et du management, l’accompagnante participe à différents séminaires sur ces thématiques et demeure membre active du réseau Toastmasters où elle continue à améliorer sa pratique de l’oralité et de recevoir des feedbacks d’autres orateurs.
4. Refus et arrêt d’une mission
L’accompagnante est en droit de refuser une mission si elle ne lui semble pas conforme à son éthique, à ses compétences ou à l’intérêt de la personne ou de l’organisation. Elle oriente alors le client vers d’autres solutions.
Si, au cours de la relation de coaching, l’accompagnante constate qu’il ne lui est plus possible de fonctionner selon les termes du contrat ou de maintenir sa posture d’accompagnement, l’accompagnante est dans l’obligation éthique d’y mettre fin en expliquant clairement les raisons de sa décision. Dans la mesure du possible, elle veillera à proposer d’autres options à son client.
5. Établissement et respect d’un contrat
Dès le début d’un accompagnement, l’accompagnante convient, par écrit, d’un contrat clair avec son client. Les conditions de cet accord inclut la compétence de l’accompagnant, les objectifs de la mission, la nature du service proposé, la clause de confidentialité, la durée maximale de l’accompagnement et les responsabilités de chacun. Il précise aussi la fréquence et la durée des entretiens, la façon dont ils se dérouleront (de vive voix, par téléphone, Internet, etc…) ainsi que le montant des honoraires. La présente charte figure en annexe du contrat d’accompagnement.
6 – Protection des clients et de leurs intérêts
La personne accompagnée, si elle n’en est pas à l’initiative, doit être volontaire pour bénéficier de ce service. L’accompagnante procède, le cas échéant, à la vérification de cet engagement et s’assure que son intervention serve les intérêts de la personne accompagnée et de son organisation. L’accompagnante veille à agir avec un haut niveau d’intégrité et de fiabilité pendant toute la durée de l’accompagnement et vérifie qu’elle a compétence à intervenir dans les domaines pour lesquels on le consulte. Dans le cas contraire, et s’il s’avère que lors des accompagnements, il apparait que des croyances ou traumatismes émergent, l’accompagnante proposera d’autres orientations qui lui semblent plus adaptées et notamment la possibilité pour l’accompagné de se faire prendre en charge, s’il le désire par un autre professionnel. L’accompagnante s’engage à favoriser l’autonomie de son client et s’interdit tout abus d’influence.
7. Confidentialité
L’accompagnante garantit le respect des engagements pris contractuellement et se tient à la règle de confidentialité.